OVNIART, acronyme de « Objet Visible Non Identifié », incarne la naissance d’un nouveau magazine consacré aux arts émergents. Il met en avant les jeunes créateurs qui repoussent les limites des catégories traditionnelles, que ce soit en musique, danse, performances ou arts urbains.
La ligne éditoriale du magazine se concentre sur la culture underground. Il valorise des courants artistiques souvent méconnus et offre une tribune à ceux qui expérimentent en dehors des circuits dominants, donnant ainsi une voix à cette culture alternative.
L’objectif du magazine est clair : faire briller les talents inclassables. OVNIART s’engage à révéler des artistes qui évoluent en dehors des conventions établies, redéfinissant ainsi la scène artistique contemporaine par leur originalité et audace.
Pour bien saisir l’essence de la demande, je me suis plongé dans l’univers fascinant de la culture underground. Ce fut un voyage immersif, où j’ai exploré les recoins méconnus de l’art visuel, de la musique, et plus particulièrement la vibrante culture rave.
Chaque recherche m’a permis de découvrir des mouvements artistiques audacieux, souvent invisibles aux yeux du grand public, mais porteurs d’une énergie créative brute. Je me suis imprégné de cette esthétique, non seulement d’un point de vue graphique, mais aussi historique, pour comprendre pleinement les attentes et les défis liés à ce projet.
C’est ainsi que j’ai pu me connecter à cet univers, prêt à traduire son esprit à travers un travail visuel et authentique.
Lors de la conception de l’identité visuelle, j’ai plongé dans un voyage fascinant à travers les origines et les symboles du mouvement rave. Je me suis imprégné de la richesse de cet univers, où l’art visuel, la musique, le cirque et des valeurs profondes s’entrelacent pour créer une culture unique.
Le défi le plus captivant a été la création du logo. Mon point de départ était cette image stéréotypée que l’on se fait des « teuffeurs »; souvent perçus comme des extraterrestres dans notre société. J’avais en tête un concept ironique : des aliens rentrent chez eux dans leur soucoupe volante après une nuit de fête.
Mais, au fil de mes recherches, je me suis rendu compte qu’ils étaient déjà là, vivant parmi nous. Ce constat m’a conduit à repenser le logo, non pas comme une représentation de l’altérité, mais comme un symbole de l’intégration entre deux mondes qui, en réalité, ne font qu’un.
R : 255
V : 255
B : 255
C : 0
M : 0
J : 0
N : 0
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R : 112
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Inter
Majuscule
ABCDEFGHIJKLM
NOPQRSTUVWXYZ
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Nombres
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Assistant
Regular
Voix ambigüe d’un cœur qui au zéphir préfère les jattes de kiwis.
Lors de la conception du magazine, j’ai voulu briser les clichés et d’inciter les lecteurs, qu’ils soient passionnés d’art urbain ou non, à revoir leur perception des personnes qui se démarquent.
J’ai opté pour des typographies traditionnelles qui reprennent les codes classiques du magazine. Cependant, la première de couverture est issue d’une rave party, où le thème représenté était un temple chinois.
Les articles ont été pensés et rédigés pour offrir un regard neuf sur cet univers, permettant aux lecteurs de se plonger dans ce milieu vibrant et d’éclaircir l’image souvent ternie des « teuffeurs ».